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Je fabrique les guitares et basses K&M Guitars: Killer Mega Guitars.
Les fabrications que je propose sont françaises. Hormis quelques pièce "hardware" (japonaises, américaines, suisses ou allemandes), la fabrication, les micros, le vernis, la mise en oeuvre de logos et repères de manche, jusqu'à l'étui, sont français.
Ma volonté est de produire en France et de respecter le fameux "Made in France".
Facteur d'instruments est le nom usuel qui souligne le mieux mon statut. Autodidacte sur ce sujet, j'ai appris le travail du bois en tant qu'ébéniste d'Art. Et je voue une passion sans bornes à cet instrument hors du commun: la guitare.
Le modèle « référence » de la marque est le modèle « Halloween », qui propose une ligne et un design aboutis, avec un corps acoustique en acajou (dos et éclisses), sur lequel est posée une table d'harmonie en métal. C’est cette table qui va définir la couleur acoustique de la guitare, tout comme le fait n’importe quel matériau qui rentre dans le critère de pouvoir transmettre une sonorité. Pour ce modèle, j'ai opté pour une table d'harmonie en Inox, épaisseur 15/10ème, teintée et vernie façon carrosserie ...
De la même manière que les essences de bois sont très importantes (l’épicéa ne résonnera pas comme une table d’harmonie en red cedar, en érable, en frêne, ou en toute autre essence), le métal qui compose la table d'harmonie est déterminant. Le cuivre, le laiton, l’Inox, l’Aluminium, voire même le titane ne « sonnent » pas à l’identique. Pour en avoir la certitude, il suffit de tester au casque les médiators utilisant tous types de matériaux (les médiators Dugain par exemple); on remarque alors que chacun a sa couleur acoustique.
Le modèle précité fait donc référence en la matière par son design abouti, sa conception, sa nouveauté…
Etre autodidacte s’avère donc finalement être un plus non négligeable. Ca permet au moins de pas tomber par influence dans les mêmes critères d’approche de conception que la plupart des luthiers. Et au final, avoir une approche intègre et objective du mieux ou du plus à apporter à l’instrument.
Un autre exemple: le petit plus pour rassurer l’artiste en début de concert…
Chaque concert ou presque démarre dans l’obscurité, et ce détail pèse pour le musicien tendant au stress. Le temps pour lui de prendre la « température » de la salle, il risque à tout moment de rater son entrée.
Marianne James ne fait pas abstraction à la règle, et m’avait demandé de palier au problème en « éclairant » les repères de touche de sa guitare. J’ai donc ajouté au manche un départ de fibre optique pour chacun des repères, reliés à une diode qui s’allume à l’instant même que la guitare est branchée à son jack.
Après avoir conçu un modèle de guitare avec un corps acoustique en acajou et une table d'harmonie en métal, j'ai oeuvré à corriger la justesse de l'instrument.
Nous tous guitaristes, savons qu'une guitare n'est pas totalement juste, et, perfectionniste dans l'Ame que je suis, j'ai fait en sorte de corriger cette imperfection.
Challenge réussi avec le frettage en éventail, qui, au delà de permettre une meilleure aisance de jeu, m'a permis "d'ajuster" le positionnement des frettes pour rendre l'instrument juste dans son ensemble. J'ai déposé un brevet en 2006, et je suis le seul, à ma connaissance, à équiper mes instruments de ce système.
Toutefois, du frettage en éventail, je n'ai rien inventé, car le premier brevet a été déposé en 1900, et je suis le sixième à avoir postulé dans ce sens, pour la correction du calcul de positionnement des frettes.
Après avoir côtoyé quelques grandes "gâchettes" de la guitare, j'ai eu l'honneur de fabriquer un instrument pour Norbert "Nono" Krief, connu de tous au sein du groupe fare des années 1980 : Trust. Marianne James aura aussi cédé au design de mes guitares, ainsi que Thierry Jasmin Banaré, ou encore Jean Pierre Froidebise qui ne tarit pas d'éloges sur son modèle "Halloween".
En 2003, backstage sur la tournée de Johnny Hallyday, je rencontre ses guitaristes du moment: Robin Lemezurier et Rejean Lachance. Une simple rencontre, fortuite, et qui s'avèrera salutaire dans l'avenir.
J'ai repris contact avec ce dernier par le biais des réseaux sociaux, et, après lui avoir présenté mes modèles, il est tenté d'en parler à un de ses bons amis qui dirige soixante dix magasins au Canada. Mes instruments font leur effet, et il me propose d'en envoyer un pour l'apprécier au plus près. Celui, entre autres comparses, qui validera l'acceptation sera le "guitar tech" de Brian Adams et Colin James.
Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, il s'avère qu'une ouverture sur les USA pointe son nez.
Un musicien français, Olivier Rouquier, appréciant mon travail, enregistre son prochain album dans le plus prestigieux des studios de Los Angeles: Hoax Productions. On s'est mis d'accord sur la fabrication d'un instrument pour me positionner au sein même du studio.
Si cet
instrument trouve sa place en cet endroit, ou dans une chaine de
magasins de musique au Canada, je ne remercierai jamais assez ces
grands noms de la guitare qui mettent tout leur talent à la faire
vivre.
Et le marché français, me direz vous? Il n'est pas en reste. Je prépare en ce moment une guitare "Master Relic" pour Sébastien Hoog (Izia), et le guitar tech qui travaille avec lui est le premier à mettre en avant mes instruments avec les artistes qu'il accompagne.
Ma volonté première est de mettre en avant le "Made in France".
Les productions ne s'arrêtent pas à ce modèle. Il me fallait reprendre les lignes consensuelles des modèles les plus prestigieux. Non pas pour copier, mais pour respecter les goûts de musiciens qui sont, dans l'ensemble, assez conservateurs des lignes qui ont fait leurs preuves.
Pour bien marquer la nuance portée à mes productions qui reprennent les lignes reconnues de tous, je les ai nommées "Klepto Model"
Vous comprendrez pourquoi... !
Toutes ces guitares ne demandent qu'à voyager, car la correction en justesse s'adapte en fonction de la course des pontets de chevalets.
Chaque guitare dont le manche est démontable peut se voir équiper d'un manche "ajusté". C'est aussi le challenge que compte relever K&M Guitars "All over the World"...
La preuve en images ... :
Le model "Klepto ST" :
La particularité des modèles de guitares réside dans le design de la tête : c'est la signature directe de l'instrument ! Aussi, je m'adapte au goût et choix du client, tout en respectant l'esthétique visuelle ...
Il y a les modèles de la marque, puis les modèles cousus mains, à la demande du client ...
"L'earlybird
Model",
avec Gaspard
Ossikian ...
Un modèle "Baryton" pour Vincent "Vince" Abadie (Lauffer Band)
Deux modèles pour "Momo" :
La "Moskull Model", avec un manche conducteur ...
Son autre modèle : La "Silver Flame"...
"La passion ne fait jamais de mauvais calculs..." (Honoré de Balzac).
Tout commence en 1991 ... Une première guitare, qui se devait de voir le jour après avoir étudié, bricolé, modifié, réparé et customisé un bon nombre d'instruments. Puis une deuxième, en 1997. Un laps de temps assez conséquent, car déjà, je sais que pour prétendre à vouloir se faire une place dans le marché, il faut innover...
Cette guitare, solid body, marque sa différence dans sa forme, et sa finition. Toute replaquée de galuchat, sertie d’oxyde de Zirconium, elle est équipée des matériaux les plus convoités pour une guitare : ébène du Gabon pour la touche et le chevalet, érable pommelé pour le manche, corps en acajou du Honduras, bending corps et manche en ivoire animal.
La petite histoire du galuchat :
On connaît tous, ou presque, la chanson : « On ira tous à la Bastille, chez Ninie Peau de chien !!! » Cette chanson remonte au XVIIIème siècle, à la grande époque du Faubourg St Antoine. Nini, était une jeune femme pauvre du quartier, et proposait aux ébénistes du Faubourg la peau de chien pour poncer le bois.
Eh oui, l’abrasif n’existait pas à l’époque, et pour préparer les meubles en finition, les artisans utilisaient ce matériau: de la peau de requin.
Ce requin, c’est la roussette, surnommée « chien de mer ». Sa peau donne l’apparence de milliers de petits harpons et permet au mâle de s’agripper sur le dos de la femelle durant l’accouplement. Cette texture permet aux ébénistes de poncer les bois. Tous les grains sont disponibles. Sur le dos, près de la colonne vertébrale, le plus gros , et sur les cotés, les plus fins. On appelle ces grains les « spicules ». Chaque spicule est composé de dentine, d’ivoire et d’émail. La même composition qu’une dent. Cette matière est donc minérale et son poli, naturel.
En 1742, Jean Claude galuchat, artisan du faubourg, décide alors de « poser » ce matériau sur les objets d’apparat de la bourgeoisie. On retrouve aussi des sabres de samouraï dont le pommeau est gainé de peau de requin.
Jean Claude Galuchat donnera son nom au produit. A présent, on utilise plus de la peau de raie (Dyasatis Sephen), pour un résultat quelque peu similaire. La différence réside que dans la peau de requin, les spicules sont plus petits.
Cette guitare est donc plaquée de neuf peaux de raies mâles, reconnaissables par cette arête définie au centre de la peau. Les femelles, elles, n’ont qu’un spicule bien marquée. Elles sont teintées grises et simplement polies.
Dans la définition du son, son impact est flagrant. Il est plus « claquant », et la guitare obtient beaucoup plus de sustain. Ajouté à la rondeur qu’ajoute l’acajou du Honduras, c’est un pur bonheur…
1999 : les innovations vont bon train, et je me penche sur la sonorité propre d’une guitare. Le bois qui la compose joue un rôle déterminant, plus précisément la table d’harmonie.
Il me vient alors l’idée d’adapter mon nouveau modèle d’une table d’harmonie en métal. Mon choix se porte une table d’harmonie inox.
Nouveau design, nouveau concept, pour un résultat qui dépasse mes espérances. Le modèle Halloween est né.
En 2000, j'ose m'aventurer avec ces deux modèles au salon de la musique de la Porte de Versailles. Histoire de voir si les instruments suscitent un intérêt quelconque. Et l'improbable se produira sur le stand Godin, ou Pat O May, en demonstrateur du stand, reçoit la visite de Ron Thal; je croise ce dernier qui me demande ce que je promène, et s'isole une quinzaine de minutes avec le modèle Halloween.
Une rock star qui s'attarde sur un de mes modèles!!!
Je n'en crois pas mes yeux, et encore moins mes oreilles. Il me redonne l'instrument et me dis, sincère : "Very Good Guitar!! So Beautiful!!! "
Deux clichés ci joints qui sonnent "collector" à mes yeux!!!
Ron Thal me conforte on ne peut plus dans l'idée que le concept est bon, et l'idée exploitable.
Je décide donc de m'employer à tester d'autres métaux...
Cette même année, j’ai l’opportunité de poser ces deux modèles dans un magasin à Chartres (28). L’effet qui s’en suit est prometteur.
Le régisseur de scène de Marianne James (Molière 1999 pour son spectacle : « l’Ultima Récital ») passe par hasard devant la vitrine, et ne fait pas de détails.
A la vue de l’instrument, il considère que c’est juste ce qu’il faut pour Marianne.
Deux semaines plus tard, nous voilà invités au théâtre de la Porte St Martin, au spectacle cité plus haut, en compagnie de Marianne James.
Cette dernière définit son instrument, qui lui sera livré 3 mois plus tard.
En février 2001, pour nous remercier de nous être proposés de lui fabriquer un instrument, Marianne suggère un retour de publicité.
Le salon de la musique de Paris ouvre ses portes en avril, et si nous exposons, elle propose de venir passer une après midi pour une séance de dédicaces sur le stand.
L’occasion est trop belle. Nous exposons donc en avril 2001, ou nous pouvons compter sur l‘accueil fait par le public et l’ensemble des professionnels présents sur l’évènement. Nous serons révélation du Salon en 2001...
Les rencontres se multiplient, improbables et inattendues.
Karim Albert Kook, qui tombe sous le charme de l'Halloween munie d'une table d'harmonie en Red Cedar,
Thierry Jasmin Banaré, sessionman, bassiste professionnel (Amar
Sundy, St Germain, Sally Gnolo, Ana Popovic etc
etc...),ouvre la session basse.
Appréciation
sans commune mesure de Norbert
« Nono » Krief, qui, après un énorme
coup de cœur, commandera une Halloween.
Ce projet aboutira six ans plus tard, en juillet 2006, pour la reformation de Trust.
D’autres artistes tombent sous le charme des instruments : Jean Pierre Froidebise, qui, quinze ans après, ne tarit pas d’éloges sur son modèle en laiton vieilli, taillé pour le slide.
En images, un tour d'horizon de ces modèles et des artistes qui les plébiscitent ... :
Jean Pierre Froidebise
Karim Albert Kook
Julien Chalmet (Fake Idea)
Matt Smith (New York City Blues)
Etienne M'Bappé et jean Christophe Maillard
Popa Chubby
Ron Thal (Gun's and Roses)
Peter Nathanson
Vincent "Vince" Abadie (Lauffer)
Jack Thyssen
Mino Cinelu
Fabien Zenman (General Lee)
Franck Jarry (Teska Band)
...L'Halloween Model est littéralement plébiscitée par Kevin
Denard...
En 2010, je travaille en parallèle avec une marque de guitares : Bad Seed Guitars, A l'instar de développer une guitare d'étude avec des repères couleurs sur le manche pour chaque note diatonique, et ce sur 12 cases et sur chaque corde, je fabrique les guitares aux artistes désireux de jouer nos instruments.
Les Raz Rockettes jouent le jeu autant qu'elles sont belles...
Cependant, il est difficile de faire sa place dans un marché noyé par les productions asiatiques. Et pour marquer sa différence, il faut innover, faire bouger les lignes...
Mariannes James me demande de réfléchir à la façon d'illuminer les repère de touches sur la tranche des guitares, pour palier au stress des débuts de concerts, ou encore d'un laser qui rayonne dans la salle en bout de manche. De mon côté, je vaux accroitre le sustain d'une guitare en vissant ce dernier au corps par inserts.
Après avoir abouti techniquement tous ces sujets, je m’intéresse de nouveau au frettage en éventail, que j'ai découvert en 1997.
Aussi déroutant qu'étonnant, je désire fabriquer un instrument sur ce concept.
Je fabrique donc un modèle similaire, en tenant compte des mêmes facteurs de réalisation qu’une guitare standard.
Inconcevable à mes yeux cette anomalie!!!
Nous tous guitaristes sommes conscients qu’une guitare n’est pas juste. Et que sont développés divers systèmes pour palier au problème (Sillet compensé, torsion des frettes etc etc...).
Je suis donc décidé à "réparer" cette approximation, et suis persuadé que le frettage en éventail (Fanned Fret) permet de corriger la justesse de l’instrument.
Mon parcours en ébénisterie d’art m’aura conforté dans le principe élémentaire que tout se trace, tout se calcule, et pour régir le tout, le nombre d’Or fait référence en la matière : 1.061803398875.
Je redéfinis donc le calcul du positionnement des frettes. Cette démarche nécessite pas mal d’heures d’études et de calculs, et au final, je réussis à corriger l’intonation d’une guitare. Je porte cette correction sur n’importe quel instrument, en tenant compte de la course des pontets de chevalet. L’idéal est d’avoir le manche démontable, beaucoup plus évident dans l’intervention qu’un manche collé.
L'innovation est présentée dans certains bancs d’essais (Guitarist Magazine, Guitar Collector), l'appréciation des musiciens dans leur ensemble s'ajoute aux médias, et il faut admettre que ce système de frettage a tout pour séduire.
- Meilleure ergonomie dans la pratique de
l’instrument,
- Allongement du diapason
grave permettant l’accès à des basses plus amples et
profondes,
- Correction en justesse
de l’instrument,
- Esthétique marquante du
guitariste utilisant ce procédé.
Je défends donc ce concept et cette innovation depuis plus de 10 ans.
J'ai d'ailleurs déposé un brevet à l'INPI qui a été publié le 30 Novembre 2007. http://www.patfr.com/200711/FR2901625.html
Les choses s’accélèrent en 2011, avec l’avènement des réseaux sociaux. Je retrouve Rejean Lachance via Facebook en 2014, je l'intègre ma liste de contacts et il découvre mes productions.
Il me fait savoir que mes lignes lui plaisent, et je lui pose l’improbable question de savoir si lui a la possibilité de présenter mes guitares sur le sol Canadien.
Bien m’en à pris, car il a un très bon ami à la tête de 70 magasins.
Il lui fait découvrir le modèle phare, l’Halloween, lui pose la question sur ce qu’il en pense, et accepte que je livre un instrument.
Impensable et pourtant…
Rejean me confirme que tous les spécialistes des boutiques vont tester l’instrument, et que le dernier qui validera ou non le produit, est le Guitar Tech de Brian Adams et Colin James.
L’ouverture commerciale sur le Canada est envisageable.
Autre rencontre improbable, en décembre 2014, lors de la venue du groupe Kyo. La rencontre avec le guitar tech, qui lui aussi, aime mes productions, mon concept, et ma démarche du « made in France ».
Il accepte de m’aider dans ma volonté de développer le Made in France à l'international et accepte d’embarquer avec lui les instruments pour les présenter aux artistes qu’il accompagne en tournée.
Cette démarche m’amène à préparer une Strat 57 Master Relic pour Sébastien Hoog, guitariste d’Isia (fille de Jacques Higelin), pour Novembre 2015.
L’autre bonne nouvelle est que le musicien qui aura rédigé le banc d’essai dans le magazine Guitarist en 2006, Olivier Rouquier, enregistre son prochain album dans le plus grand studio de Los Angeles et emmène une guitare de mon crû. Il mettra tout en œuvre pour promulguer le « Made in France » au pays de l’Oncle Sam.
En effet, ma volonté est de mettre en avant cette idée du tout français. Fabrication, micros, finition, jusqu’à l’étui de voyage et les fabrications annexes (logos, repères de touche, stickers, pochoirs) sont "Made in France".
Seul le hardware peut être américain, japonais, allemand ou suisse, car trop onéreux pour les réaliser en petite production.
Je suis en préparation de 4 instruments. Quatre instruments pour tenter l’aventure internationale. 70 magasins au Canada, une guitare en studio à Los Angeles, deux instruments en tournée avec le guitar tech cité plus haut, et en devenir, les points de vente en région parisienne. Notamment Guitare Village que je compte démarcher, au vu de leur politique commerciale concernant les petits labels indépendants.
Depuis 2001, la presse spécialisée aura su nous présenter dans leur magazine. Guitares et Claviers, Guitarist Magazine, GuitareXtrême, Guitar Collector, Les Artisanales de Chartres. Tout un panel d'articles et reportages qui confirment la qualité des instruments.
Tout reste à faire, ou presque, car la réussite est au bout de tous ces efforts, certain que les instruments proposés méritent leur place dans le milieu guitare actuel.
Je reste persuadé que la passion a toujours raison, même s’il est difficile de vouloir aboutir au Saint Graal qui nous anime…
Liste des artistes représentés pour les contreparties:
-Jean Pierre Froidebise,
-Karim Albert Kook,
-Thierry Jasmin Banaré,
-Julien Chalmet (Fake Idea),
-Norbert "Nono" Krief (NNK band),
-Mohamed "Momo" Berdahoui (Subversia),
-Olivier Rouquier,
-Rejean Lachance (Mercedes Band),
-Vincent "Vince" Abadie,
-Franck Jarry (Teska Band)
L'ouverture commerciale sur le Canada et les USA me semble toute proche, sans oublier ma volonté d'être encore plus présent dans l'hexagone, mais pour cela, j'ai besoin de vous !
Les besoins financiers qui m'amènent à vous présenter mon projet pourront me permettre d'honorer le paiement des pièces de quatre guitares. Il est convenu que les instruments font valeur de test, et que, après appréciation du produit que je mets en avant, j'ai toutes les chances de voir les futurs acquéreurs emballés d'avoir de tels instruments dans leur set de scène, ou leurs boutiques.
Deux autres guitares sont prévues par la suite pour le marché national (magasins), notamment en région parisienne.
Bien sûr, la recevabilité du test fera ou non que les guitares seront mis en « vitrine » dans les dits magasins, et donc facturées.
L’autre besoin financier concerne deux machines: une toupie et une défonceuse sur table. Des éléments incontournables pour concurrencer de façon artisanale une fabrication industrielle qui plombe l’approche artistique de ce métier.
Une partie du financement servira à honorer le paiement des contreparties.